Faire rayonner le savoir et la culture

Faire rayonner le savoir et la culture

Découvrez ce à quoi aspire
l’UQAM pour consolider
ses lieux de diffusion
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L’IDÉE

Moderniser la Galerie de l’UQAM

L’audace est un art… que la Galerie de l’UQAM maîtrise. La galerie universitaire n’a jamais craint de mettre en lumière le travail d’artistes québécois émergents, d’exposer des œuvres qui ne l’avaient jamais été, de prendre des risques. C’est ainsi qu’elle s’est forgé une réputation d’envergure mondiale. C’est ainsi qu’elle a gagné le cœur du public montréalais, ouvert à l’art avant-gardiste.

Pour continuer de s’aventurer en terrains inconnus, la Galerie a besoin d’encore plus d’espace et d’installations novatrices. Une aire d’accueil pour ses visiteurs; une nouvelle réserve muséale; une acoustique améliorée et des systèmes d’éclairage et de ventilation à la fine pointe de la technologie : voilà qui donnerait un sérieux coup de jeune à cette galerie qui a toujours eu les idées neuves.

 


 

L’IDÉE

Continuer de faire battre le Cœur des sciences

Sur une même scène, réunissez des chanteurs d’opéra, un spécialiste de la biomécanique de la voix et une experte en pathologies vocales. Vous obtiendrez une rencontre aussi insolite que féconde, mêlant intelligemment les arts et la science. Exactement le genre d’activité qu’organise le Cœur des sciences de l’UQAM depuis 2005. Dans ce centre culturel scientifique unique, les disciplines et les connaissances se mélangent.

L’objectif : développer la culture scientifique du grand public et affirmer la place des sciences dans la culture. Au programme : des conférences, des spectacles scientifiques, des balades, des excursions… Avec ses 11 000 participants de tous âges chaque année, le Cœur de sciences est une histoire de succès. Une histoire qui doit absolument continuer de s’écrire.

 

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L’IDÉE

Faire place aux artistes historiens et commissaires de demain

Oubliez le mythe du créateur isolé dans son atelier et celui de la spécialiste de l’art perchée dans sa tour d’ivoire. Dans la vraie vie, les artistes, historiens de l’art, commissaires d’exposition et experts en muséologie sont appelés à travailler ensemble. À l’UQAM, où se forment annuellement des centaines de ces professionnels, leurs occasions de collaborer restent cependant trop rares. L’ouverture du Centre de création, de recherche, d’expérimentation et d’exposition (CREE) changerait la donne.

Au Centre CREE, les artistes et historiens de l’art en formation pourraient diffuser en continu leurs travaux, tandis que les experts muséaux et commissaires en devenir pourraient mener des recherches et organiser des expositions. Surtout, tous auraient la possibilité de s’y rassembler pour discuter, échanger et créer en commun. Au grand bonheur du public, gagnants d’un nouveau lieu d’art innovateur.

 


 

L’IDÉE

Assurer la pérennité du Centre de design de l’UQAM

Au Canada, il a été le premier - et est encore l’un des seuls - à exposer le design sous toutes ses facettes : graphique, industriel, urbain, architectural et vestimentaire. Depuis son ouverture en 1981, pas moins de 342 000 visiteurs ont foulé ses 400 mètres carrés. Des créateurs de renom y sont régulièrement à l’affiche, quand ce n’est pas la relève du design québécois.

Le Centre de design de l’UQAM présente un bilan reluisant. Il doit cependant accroître son financement pour continuer d’accueillir conférences, expositions et événements spéciaux chaque année. En 2006, Montréal a été désignée Ville UNESCO de design. La métropole québécoise ne peut se passer d’un lieu qui le célèbre sous toutes ses formes.

 

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